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 |  News: Nouveaux Liens by StefLeFourbe |
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Serge a écrit : "Après avoir vu "Phone Game" de Joel Schumacher, deux options s'offraient à moi : aller vomir un coup, ou bien, plus sobrement, justifier mon dégoût de ce type de cinéma dans les colonnes désormais incontournables de Maître Bubu.
Comme vous pouvez le voir, j'ai opté pour l'article, aussi emporté et brouillon puisse-t-il être.
"Phone Game", c'est avant tout un scénario convenu appuyé par une mise en scène tape-à-l'oeil, le tout légèrement assaisonné d'interprètes de qualité (ouf !).
En gros, un attaché de presse égoïste, menteur et coureur de jupons (un mec, quoi !) se retrouve dans une cabine téléphonique en proie à un sniper qui lui fait la morale (demande pardon ou je te tue).
Ce sniper se trouve donc dans la position du curé (cherchez pas, ce n'est pas dans le kama-sutra), confesseur puis juge, justicier d'une idéologie d'un autre temps, mais surtout symbole d'une nation toute entière gangrénée par cet intégrisme judéo-chrétien qui, non content de pourrir leurs existences, s'attaquent de plus en plus aux nôtres via leurs médias...
On est ici très proche d'un discours du Pape (ils font même bouger la caméra pour faire croire que c'est lui qui filme).
Cela dit, je crois avoir bien retenu la leçon, Mr Schumacher : tu ne mentiras point, tu aimeras ton prochain, et il faut pas tromper ta femme, parce que c'est pas bien...
Evidemment, le pardon étant à la fois une valeur sacrée dans la religion et une excellente manière de torcher une "happy end", il ne s'en est pas privé le bougre !
Tout ça emballé dans un paquet de 1h17mn (je vous jure que je n'ai pas vu le temps passer).
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 |  News: Ajout de nouveaux liens |
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mise a jour dans la section liens.
Maporama : Cartes, Plans d'acces et itineraires partout dans le monde.
CTQUI : L'annuaire inversé gratuit.
Annu.com : permet d'obtenir les coordonnées complètes d'un abonné au téléphone.
France Express Map : Indiquez l'adresse ou seulement la rue et validez. Vous obtiendrez alors le plan demandé.
Oua Toulouse : Ce site a pour objet de faciliter l'accès aux activités présentes dans le centre de Toulouse. D'autre part ce site comporte un plan de Toulouse centre.
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Mise a jour de quelques logiciels dans le section telechargement.
Win off : arreter ou redemarer son pc a l'heure choisie,
FileZilla : serveur FTP ...
AutoDub version 1.7 (Ripp DivX)
Real VNC : Permet de prendre le controle d'un PC a distance a travers Internet.
Codecs : Real Media (RV9), Quick Time (Mov), et bien sur le Pack Codecs DivX 5.05b + Filtres DirectShow.
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serge a écrit : "Après avoir vu "Parle Avec Elle", j'ai tout de suite pensé que j'étais certainement passé à côté d'un très grand metteur en scène pendant de années.
Oui, je sais, ce que Pedro Almodovar a fait jusqu'à maintenant est loin d'être négligeable (pour rappel, "Talons Aiguilles", "Attache-moi"...), mais je pensais simplement que c'était, un peu comme le cinéma asiatique, trop éloigné de ma culture pour que je l'apprécie pleinement.
Et c'est une erreur de plus à mon actif, ses derniers longs métrages étant de vrais hymnes à la vie, à l'amitié, au respect, à la tolérance (on devrait d'ailleurs en envoyer une ou deux copies à quelques membres de notre gouvernement bien-aimé).
Almodovar est un cinéaste d'une sensibilité et d'une intelligence extrêmes, car les sujets abordés dans "Tout sur ma mère" et "Parle avec elle" sont dangereux, difficiles à aborder.
Il les traite avec beaucoup de discernement, mettant en perspective les travers de notre société déshumanisée, en laissant de côté les problèmes purement ibériques.
C'est un peu comme Candy, on s'amuse, on pleure, on rit, et on se rend même compte que l'art dans toute sa finalité est là, devant nous, touchant, esthétique, et jamais vain. "
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serge a écrit : "Il y a des films que l'on qualifie volontiers d'inclassables. C'est pratique, ça évite de se poser trop de questions et ça permet d'en parler sans à priori par la suite.
Mon dernier coup de massue cinématographique s'appelle "Punch-drunk love", titre qui tendrait à nous faire passer ce petit bijou pour une de ces niaiseries romantiques hollywoodiennes voulant nous faire croire à un monde fait de Mickey et de Minnie.
Or, quand on voit le film de Paul Thomas Anderson (réalisateur des déjà très bons "Boogie Nights" et "Magnolia"), on se surprend à penser tour à tour à des références comme "After Hours" de Scorsese, "The Party" de Blake Edwards, "Jackie Brown" de Tarantino, puis en vrac Chaplin, Tati, Gilliam...
Prix de la mise en scène au dernier festival de Cannes, "Punch-drunk Love" est une comédie déjantée qui fait rêver par son invention permanente, son ton habilement décalé, sa galerie de personnages finement croquée...
Difficile pourtant de se projeter dans le personnage d'Adam Sandler, tant il est loin du héros de cinéma conventionnel.
Mais il y a finalement un peu de chacun de nous en lui. Nos lubies agaçantes, nos craintes ridicules, notre agressivité quasi-permanente, cette défense que l'on pense obligatoire pour pouvoir vivre en société, en oubliant peu à peu d'être soi-même.
"Punch-drunk Love" nous apprend que notre premier devoir est de communiquer.
Et l'on ne peut que remercier Paul Thomas Anderson de faire passer ce message avec autant de légèreté et de brio.
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Dès la première image, ce sont les couleurs éclatantes du Mexique: murs bleu pervenche et chiles écarlates, vert assaillant des cactus, fonds chocolats piqués de grenade. Au son rythmé des guitares. Nous sommes avertis que dans ce pays, la vie ne peut être que passion.
Et Frida jeune et belle, dévore cette vie. Nous ne la connaissons pas encore, mais ses larges sourcils nous la livrent, forte et exaltée, entière. Des sourcils un peu indiens, un peu masculins, prêts à se froncer d'amour et de souffrance, d'ombre et de lumière.
Son terrible accident sera malheur corporel et source de son œuvre, ombre et lumière.
La rencontre de Diego fera la flamme de sa vie et le vide de la désillusion, ombre et lumière.
Une ombre ocre rouge, une lumière bleue et dorée.
Et la vie de Frida se déroule, chapitre par chapitre, un peu trop linéaire peut-être : la peinture, Diego, l'accident, l'idéal communiste omniprésent, les amis artistes, l'alcool, Diego, la souffrance physique couchée sur les toiles, Trotski, l'attache à la famille, les couleurs du Mexique, l'espoir toujours déçu de la loyauté de son éléphant, le souci inquiet de son talent d'artiste.
Cette vie folle, exceptionnelle, tourmentée et souffrante, ne pouvait être montrée par un cinéma documentaire, plat, trop édulcoré; même et surtout avec une reconstitution parfaite du décor, des costumes, des bijoux, des plats … Le tout en langue anglaise ! Avec une Frida un peu trop belle. Le film parle peu du supplice physique de Frida, pourtant fondement de son œuvre. Il fait complètement l'impasse sur la revendication de son "indianitude", pourtant essentielle pour elle, mais certes politiquement incorrecte pour le cinéma américain.
Ce qui sauve le film, c'est l'amour qu'il montre pour le pays et tous ses personnages, amour si bien souligné par la musique, les chants magnifiques. Ce qui sauve le film, c'est la belle liberté qu'il prend tout à coup, cassant le défilement linéaire, en animant les toiles de Frida par des incrustations surréelles, en insérant des montages animés – les chirurgiens-squelettes à la mexicaine opérant Frida – , en envoyant Diego-King Kong grimper au sommet de l'Empire state building pour enlever sa Frida avec sa grosse patte. On frise le surréalisme qui a tant inspiré Frida.
¡ Viva la libertad de este cine !
Qu'aurait été le film sans les directives et les pressions des producteurs de Miramax ?
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